La Résistance en Lot-et-Garonne
La Résistance en Lot-et-Garonne
Dès 1940, par la parole, par les écrits ou par le camouflage du matériel de l'armée, quelques personnes isolées refusent la défaite et manifestent leur opposition à la politique de collaboration du régime de Vichy.
L’histoire de la Résistance en Lot-et-Garonne peut être divisée en quatre phases :
- 1940 - 1941 : naissance de la Résistance
Conséquence de la défaite militaire de juin 1940, le Lot-et-Garonne reçoit un grand nombre de réfugiés, notamment des Alsaciens-Lorrains. Des militaires repliés organisent le camouflage du matériel de l’armée (camp de Bias).
Le régime de Vichy procède à l'épuration du personnel politique et administratif : les opposants sont mis en résidence surveillée, révoqués ou bien arrêtés, jugés et emprisonnés.
Malgré la visite à Agen fin août 1941 du maréchal Pétain et de l’amiral Darlan, l’enfant du pays, et l’incessante propagande (affiches, tracts, conférences, commémorations), l'esprit de résistance s'étend parmi la population lot-et-garonnaise...
Nous recherchons tout document (archives, témoignages, photos) qui nous permettrait d'enrichir notre connaissance de la Résistance en Lot-et-Garonne..
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La création et la vie quotidienne dans les maquis lot-et-garonnais en 1943
En coédition avec l'AERI, l'association Mémoire de la Résistance en Lot-et-Garonne a publié un cédérom.
Stèles, plaques et noms de rue qui rappellent les combats des résistants.
Réalisé par une équipe d’historiens, le cédérom contient 850 fiches dont 500 biographies et plus de 900 documents (photos, tracts, affiches, articles de presse, dessins, plans, interviews, etc.) Il est doté d'une chronologie, d'un atlas et d'une médiathèque,
Les combats de la Libération, à l'été 1944
Le souvenir de la Résistance à Agen
Tract concernant l'assassinat de Mgr Torricella
Denis Ginestet,
syndicaliste, résistant et déporté
Photo et biographie de Raymond Desaphy, chef départemental CFL
Nous recherchons des informations sur ce militaire né en1903 à Confolens (Charente) et décédé en 1994 à Antibes (Alpes-maritimes)
Monseigneur Torricella, directeur de l'hebdomadaire italien " Il corriere", est assassiné en janvier 1944 à Agen.
Une plaque à sa mémoire a été apposée sur la passerelle reliant Agen au Passage d'Agen le 24 avril 2015